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Ce texte explore l'idée de la cabane comme un espace transitoire et modeste, loin d'être un refuge permanent ou stable. Nelson  la décrit comme un lieu où l'on peut se raconter des histoires, se connecter avec soi-même et les autres, et où l'intérieur et l'extérieur se mêlent au lieu de s'exclure. Contrairement à la maison, symbole d'enracinement, la cabane est un espace sans histoire, fragile, un lieu de passage, un "non-lieu" qui pourrait stimuler la créativité.

Nelson Irsapoullé fait ensuite référence à une cabane conçue par l'architecte Jean Nouvel, posée dans un quartier hétérogène et mixte, un endroit de transition socialement complexe. En parallèle, iel se souvient de son propre vécu dans un quartier similaire, une tour de 17 étages où la verticalité et la symétrie dominent. Cette expérience est décrite comme une ligne de fuite, un passage entre deux mondes, à l'intérieur de soi et à l'extérieur.

Iel questionne la place de cette "cabane" blanche, qui semble être un élément esthétique dans un paysage urbain en mutation. Iel se demande si elle représente un changement, tel que la gentrification, et si elle est simplement un "token", un symbole temporaire dans un processus plus vaste. Ce texte est une réflexion sur l'espace, le déplacement, et le rôle symbolique des objets et des constructions dans les transformations sociales et urbaines.

Cabane B* is located in the district Bumplitz- Bethlehem, right there to the railway station Bumplitz Nord. It can be reached by public transport in just a few minutes from Bern main station.

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